5 BILLETS - VOLET IDENTITAIRE TOUT EST UNE QUESTION D’ADN



L’identité : passage de l’écrit sur pierre à l’ère du numérique

 Si le web social répond à un besoin certain, il faut au moins avoir la diligence de soigner son écrit sur les médiums numériques.  C’est de par notre profil identitaire que revient de déterminer le vrai du faux.  Parce que nous sommes une personne publique, il nous faut faire d’autant plus attention à l’auditoire auquel nous nous adressons.

Il ne suffit pas juste de soigner sa réputation envers ceux qui nous entourent. Il est de mise de protéger sa vie privée et de s’assurer de mettre une barrière entre la vie privée et publique sans toutefois mettre de côté notre responsabilité comme mentionné à quelques occasions précédemment dans nos billets.

Les trois éléments suivant : l’identité numérique, l’interopérabilité et le profil seront au cœur de notre développement rédactionnel touchant nos 5 billets.  Nous rédigerons le premier billet sur le degré d’une identité numérique au sein des plateformes sociales. Dans un second temps, nous regarderons l’impact entourant l’aspect personnel et social dans le milieu du web.  Lors du troisième billet, il nous faut regarder le facteur de risque qu’une interopérabilité peut engendrer. Pour le quatrième billet, celui-ci fera ressortir la portée que peuvent avoir les composantes de notre profil.  Finalement, le dernier billet portera sur la nécessité de protéger notre e-réputation et son influence dans notre  vie du monde du web social.

Premier billet :

L’identité numérique dans les plateformes sociales

Si nous avions à déterminer un point important dans le milieu des technologiques, c’est bien celui de l’identité numérique.  Peu importe les plateformes touchant les blogues et les réseaux sociaux c’est de notre ADN dont il s’agit.  Ce qui soulève tout de même une question.  Comment peut-on déterminer le degré de sécurité nécessaire qu’il faut donner au sujet de notre identité déclarative touchant nos données personnelles ? 

Peu importe le dilemme, le problème touche tout le monde.  Il nous faut s’assurer que les mécanismes de sécurité et de contrôles en place soient robustes afin de protéger notre authentifiant1.

Ce qui est paradoxal, c’est que nous dupliquons notre identité numérique sur chacune des plateformes sociales chaque fois que l’on s’y inscrit.  C’est comme si nous n’existions pas. Certes, c’est parce qu’il n’y a pas de point de connexion central et encore moins d’éléments de contrôle permettant une relation entre eux.

Par conséquent, il importe de ne pas révéler toutes les informations liées à notre vie privée et, par conséquent, il importe d’examiner sa cyber-réputation2 car l’identité numérique est d’une grande portée dans le monde du web social et une cible de choix pour les cybercriminels3.  Il semble que certains éléments convergent vers  d’autres mécanismes plus centraux. Est-ce pour autant sécuritaire ? Pour un éclairage, voyons le second billet.

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Second billet :

Aspects personnels et sociaux de notre identité

Si à la base, ce sont nos aspects personnels qui nous caractérisent, c’est en fait nos interactions sociales qui au fil du temps dessine notre identité. Il nous faudrait plutôt se poser la question suivante : Quels sont les aspects personnels nécessaires au construit de notre identité sociétale sans mettre à risque tout notre ADN ?

Un des éléments important à retenir dans tout ça, c’est que l’un ne va pas sans l’autre.  C’est la combinaison du volet personnel et collectif1 qui sert à notre construit identitaire.  Toutefois, c’est le propre de l’humain de voir le monde numérique à travers un prisme sous l’angle de leur expertise2 et de vouloir en mettre un peu trop peut-être !

Toutefois, il est possible de canaliser notre identifiant numérique par l’utilisation d’application par exemple « OpenID »3 permettant de s‘inscrire de façon  automatisée selon le choix d’activité pressentie par l’individu et du niveau de complexité désirée à d’autres plateformes.

Par ailleurs,  si l’identité numérique automatisée  basée sur l’URL, ce dernier doit être fait dans les règles. Une question nous brûle les lèvres.  Est-ce que l’utilisateur  doit en garder le  contrôle afin d’en minimiser sa divulgation4 et seulement aux applications qui le requiert ?  Nous vous invitons à lire le prochain billet pour trouver la réponse.   
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Troisième billet :

L’interopérabilité

Partant du principe que l’interopérabilité dans le domaine des technologies de l’information est la capacité d’accéder à une application sans restriction, cela nous amène à se poser certaines questions. À commencer par celles-ci :   Est-ce sécuritaire ? Sommes-nous toujours en contrôle ? Aucune clé fournie à un tiers n’est garant de contrôle puisque toute information laissée en arrière favorisera le gestionnaire de service identitaire (fournisseur).

Lors de nos recherches, nous nous sommes posé la question suivante : Est-ce possible d’être nous-même le « OpenID » ? Cette question est intéressante car elle ouvre une porte quant à la maîtrise de nos données2 authentifiant.  Voilà une preuve de plus qu’il faut tout mettre en œuvre afin de préserver son profil identitaire.

Assurément, l’interopérabilité dépasse le mode du web social et ne serait-ce que l’utilisation de SimpleID2 comme outil identitaire. Cela nous donnerait déjà un meilleur contrôle quant au degré d’information personnelle à vouloir partager dans le vaste monde des technologies de l’information.

Notre profil identitaire n’est pas juste composé de clés, il a une portée plus large.  Que diriez-vous de notre ADN numérique comme composante principale ?  Lisez le prochain billet pour en savoir un plus sur sa portée.
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Quatrième billet :

Profil et leurs composantes

Notre profil est la clé d’accès à certains programmes dans le merveilleux monde numérique et bien sûr, ils peuvent contenir des informations sensibles1. Pour toutes ces raisons, il nous faut tout faire pour la protéger. 

Si notre profil est la pierre angulaire de notre identité sur le web social, c’est plutôt à partir de ces composantes et plus particulièrement celle se rapportant aux données personnelles qui causent tellement d’émoi et de crainte par peur de se faire  soutirer de l’information. 

C’est par nos activités antérieures sur le web que nous laissons des traces créant ainsi notre profil dynamique et donc notre ADN numérique.  Il nous faut se poser la question suivante : Quels sont les enjeux qui nous guettent ? Quelle est la meilleure façon d’y faire face ?

Effectivement, nous pourrions formuler d’autres questions mais concentrons-nous sur celles-là  pour l’instant.

Le principal enjeu est de comprendre qu’une fois notre profil d’identité numérique mise sur le web, celle-ci n’aura de valeur que si elle est active, suscite la conversation, apporte une contribution envers autrui.

Le plus challengeant dans tout ça, c’est d’être cohérent dans ce que vous partagé au meilleur de vos compétences tout en étant passionné pour ce que vous faites.  Nous pourrions formuler la question suivante : Est-ce que ceci enrichira notre  e-réputation ?  Il semble bien que oui puisqu’elle repose sur la confiance.  Ce sera par le fait même gagnant-gagnant2.   

Maintenant, lisons le dernier billet afin de voir quelle influence cela pourrait avoir sur nous.
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Cinquième billet :

E-réputation et son influence

Disons-le franchement, le terme réputation n’est pas juste lié à la popularité de la personne supporté par une grande visibilité1. Principalement, c’est de par nos actes que les gens nous évaluent et nous jugent. 

Il en tient qu’à son auteur de tout faire pour maintenir l’harmonie et susciter l’intérêt car ce sont les gens (lecteurs) qui nous évaluent et nous jugent2.  Ce qui semblait n’être que du domaine des agences de relations publiques et bien surprise, nous avons la même chose du côté web c’est-à-dire des firmes spécialisées dans la e-réputation pouvant venir en aide lorsque nécessaire. Mais ici, ce n’est pas notre propos de ce billet.

Lors de notre analyse sur l’e-réputation nous avons lu plus sur les règles à mettre en place que sur les aspects plus simplistes afin de mieux encadrer les éléments plus favorables ou à tout le moins permettant de valoriser notre démarche.  C’est en fait, rechercher les éléments pouvant avoir une influence positive et ceux-ci se doivent d’être bidirectionnels.  C’est-à-dire autant de la part de l’auteur que du lecteur être reconnu, apprécier et respecté.  Alors, chacun des intervenants en tirera profit et nous permettra de s’enrichir comme individu et comme société.   Voilà notre signature et voilà notre ADN.
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