Vingt ans plus tard 2036



Fin 2036 vingt ans plus tard

L’an 2036, les autos volent, les humains ont une puce intégrée qui par la moindre variante envoie un signal aux services médicaux ou policiers s’il y a danger.  L’humain reçoit en temps réel toute information pouvant lui être pertinente. Nous savons en tout temps où la personne se trouve.  Nous sommes devenus nous-même un objet-humanoïde. 

Nous avons non seulement la capacité d’apprendre mais maintenant la société du savoir s’élargit grâce aux réseaux des réseaux (humain) qui par ricochet son des ordinateurs intelligents capables de penser par eux-mêmes.  Nous n’avons qu’à nous brancher avec un casque pour nous recharger et être frais et dispos après 4 heures de traitement.

Un peu futuriste vous dites, mais si on y regarde de plus près, nous y sommes presque. Nous n’avons qu’à regarder notre montre, nos lunettes, notre téléphone tous des objets intelligents qui sont tous des transmetteurs dans l’âme et c’est tout ce que l’on a besoin pour que notre société devienne une société du savoir à grande échelle. 

On peut imaginer l’impact que cela engendrera en termes de mode de vie, d’éducation, de travail, de loisirs sans compter l’aspect législatif, etc. Cela change notre vision du monde car à partir de là, tout devient modélisable et il faudra revoir les façons de faire car la sécurité risque d’en prendre pour son rhume.  Toutefois, est-ce que cela éliminera les disparités pour autant ? Toute une question et la réponse ne sera pas simple.

Le cyberespace est un gigantisme blogue interactif canalisant et redistribuant une montagne d’informations géré par une série d’ordinateurs afin d’éviter les dérapages permettant aux nœuds de se régénérer en regard aux règles établies.  Toutefois, c’est le nombre de données qui s’accumulent qui risquent de causer problème.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire