Billets 7 et 8 Module 6



Module 6 - Groupes et identité sur le web

6.2 Groupes sociaux

Pour nous, l’expression « groupe sociaux » n'est plus ni moins qu'une question de structure hiérarchisée, ouverte, fermée, interdépendant, etc.  Par ailleurs, c’est précisément sur cet aspect que le volet social entre en jeux et bien sûr en tenant compte de son rapport de force.  C’est pour cette raison que l’on parle de communauté d’intérêts.

Réplique à un étudiant

Nous trouvons intéressant de voir que les groupes sociaux sont dans les faits, sans limite et ne connaissent pas de frontière car c’est le propre du numérique1.   Toutefois, le monde numérique englobe un certain conformisme qui se canalise par une influence interpersonnelle que dégagent les membres du groupe2.   
En plus de vouloir savoir si l’influence est réellement mesurable2, il serait avisé de formuler la question suivante : Comment pourrions-nous conscientiser les groupes sociaux de diffuser plus positivement l’information tout en restant pertinente ?
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Réplique à un blogueur

De toutes nos recherches sur le web social, c’est l’élément portant sur le descriptif « communauté d’intérêts » qui nous a donné le plus de difficulté et plus particulièrement en essayant de voir comment le déterminer.

Nous savons qu’un groupe composé d’individus ayant des expériences et préoccupations similaires s’identifie comme une communauté d’intérêt. C’est sur cet énoncé que nous avons axé nos recherches.  Quelle est la meilleure façon d’identifier rapidement et efficacement une communauté d’intérêt1 ?
Notre compréhension s’est arrêtée sur l’énoncé « méthode circulaire » c’est-à-dire veiller au construit par une thématique d’intérêt en collectant et sélectionnant quelles sources tout en les délimitant par des mots-clés. Il fallait que ce soit un bibliothécaire qui nous l’énonce1.

Lors de notre lecture dans la section des commentaires de ce blog, nous avons compris que l’information doit être hiérarchisée comme mécanisme de médiation informationnelle.  Dans les faits, selon nous, il s’agit plutôt là, de gouvernance informationnelle c’est-à-dire qu’il nous faut déterminer la pertinence de l’information d’une façon plus stratégique, plus proactive et plus coordonnée.  C’est ce qui s’appelle avoir le pouvoir d’anticipation.


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6.6 Vie privée et vie publique

Une expression souvent oubliée dans le monde numérique. Toute chose n’est pas bonne à dire. Oups, n’est pas bonne à écrire, devrions-nous dire mais, tout sur le web est de diffusion publique.  Voyons pourquoi.

Par ailleurs, si le web social répond à un besoin certain, il faut au moins avoir la diligence de soigner son écrit et bien sûr, les autres médiums également.  L’utilisation d’une vraie identité nous transpose en personne publique car si une personne nous lit, alors d’autres le feront aussi.  Donc, soyez attentif à votre auditoire.

Là, il importe de tirer une ligne entre la vie privée et la vie publique et de soigner sa réputation. Le côté institutionnel nous influence mais il est de mise de protéger sa vie privée et de prendre conscience ne serait-ce que de mettre une barrière entre la vie privée et publique.

Réplique à un étudiant

À partir du moment que l’on établit un dialogue1 envers une personne ou plusieurs personnes, rien ne garantit que l’information que l’on véhicule demeure privée et encore moins sur les réseaux sociaux.  

Comme dit l’expression suivante, si les paroles s’envolent, les écrits restent. Raison de plus pour soigner nos relations. Il est important de ne jamais prendre pour acquis que tout dialogue demeure confidentiel et privé.
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Investigation

Quelqu’un peut-il me dire qu’il n’a jamais entendu parler d’Edward Snowden1 et des programmes de surveillance sur Internet et sur les appareils intelligents ? Ce serait surprenant.  Si on ajoutait une autre couche.  Qui n’utilise pas Google drive, DropBox, Cloud etc.   Alors voilà, un beau paradoxe et on pourrait poursuivre longtemps.

Comme concept, il y a une ligne qui se trace entre la vie privée et la vie publique mais sur Internet et des appareils intelligents, on peut parler de fissure car tout est une question d’affaires.  Que voulez-vous, nous sommes des consommateurs informationnels et si les empreintes laissent des traces, l’information également.  C’est à l’utilisateur que revient la responsabilité d’ériger sa frontière entre la vie privée et la vie publique.
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