Module 6 - Groupes et identité sur le web
6.2 Groupes sociaux
Pour nous, l’expression
« groupe sociaux » n'est plus ni moins qu'une question de structure
hiérarchisée, ouverte, fermée, interdépendant, etc. Par ailleurs, c’est précisément sur cet aspect
que le volet social entre en jeux et bien sûr en tenant compte de son rapport
de force. C’est pour cette raison que
l’on parle de communauté d’intérêts.
– Réplique à un étudiant
Nous trouvons intéressant
de voir que les groupes sociaux sont dans les faits, sans limite et ne
connaissent pas de frontière car c’est le propre du numérique1. Toutefois, le monde numérique englobe un
certain conformisme qui se canalise par une influence interpersonnelle que
dégagent les membres du groupe2.
En plus de vouloir savoir
si l’influence est réellement mesurable2,
il serait avisé de formuler la question suivante : Comment pourrions-nous
conscientiser les groupes sociaux de diffuser plus positivement l’information
tout en restant pertinente ?
Lien
en référence à ce billet :
Lien complémentaire :
– Réplique à un blogueur
De toutes nos recherches sur
le web social, c’est l’élément portant sur le descriptif « communauté
d’intérêts » qui nous a donné le plus de difficulté et plus
particulièrement en essayant de voir comment le déterminer.
Nous savons qu’un groupe
composé d’individus ayant des expériences et préoccupations similaires
s’identifie comme une communauté d’intérêt. C’est sur cet énoncé que nous avons
axé nos recherches. Quelle est la
meilleure façon d’identifier rapidement et
efficacement une communauté d’intérêt1 ?
Notre compréhension s’est
arrêtée sur l’énoncé « méthode circulaire » c’est-à-dire veiller au
construit par une thématique d’intérêt en collectant et sélectionnant quelles
sources tout en les délimitant par des mots-clés. Il fallait que ce soit un
bibliothécaire qui nous l’énonce1.
Lors de notre lecture
dans la section des commentaires de ce blog, nous avons compris que
l’information doit être hiérarchisée comme mécanisme de médiation
informationnelle. Dans les faits, selon
nous, il s’agit plutôt là, de gouvernance informationnelle c’est-à-dire qu’il
nous faut déterminer la pertinence de l’information d’une façon plus stratégique,
plus proactive et plus coordonnée. C’est
ce qui s’appelle avoir le pouvoir d’anticipation.
Lien
en référence à ce billet :
6.6 Vie privée et vie publique
Une expression souvent
oubliée dans le monde numérique. Toute chose n’est pas bonne à dire. Oups,
n’est pas bonne à écrire, devrions-nous dire mais, tout sur le web est de
diffusion publique. Voyons pourquoi.
Par ailleurs, si le web
social répond à un besoin certain, il faut au moins avoir la diligence de soigner
son écrit et bien sûr, les autres médiums également. L’utilisation d’une vraie identité nous
transpose en personne publique car si une personne nous lit, alors d’autres le
feront aussi. Donc, soyez attentif à votre
auditoire.
Là, il importe de tirer
une ligne entre la vie privée et la vie publique et de soigner sa réputation.
Le côté institutionnel nous influence mais il est de mise de protéger sa vie
privée et de prendre conscience ne serait-ce que de mettre une barrière entre
la vie privée et publique.
– Réplique à un étudiant
À partir du moment que
l’on établit un dialogue1
envers une personne ou plusieurs personnes, rien ne garantit que l’information
que l’on véhicule demeure privée et encore moins sur les réseaux sociaux.
Comme dit l’expression
suivante, si les paroles s’envolent, les écrits restent. Raison de plus pour
soigner nos relations. Il est important de ne jamais prendre pour acquis que
tout dialogue demeure confidentiel et privé.
Lien
en référence à ce billet :
– Investigation
Quelqu’un peut-il me dire
qu’il n’a jamais entendu parler d’Edward Snowden1 et des programmes de surveillance sur Internet et sur
les appareils intelligents ? Ce serait surprenant. Si on ajoutait une autre couche. Qui n’utilise pas Google drive, DropBox,
Cloud etc. Alors voilà, un beau paradoxe et on pourrait
poursuivre longtemps.
Comme concept, il y a une
ligne qui se trace entre la vie privée et la vie publique mais sur Internet et
des appareils intelligents, on peut parler de fissure car tout est une question
d’affaires. Que voulez-vous, nous sommes
des consommateurs informationnels et si les empreintes laissent des traces,
l’information également. C’est à
l’utilisateur que revient la responsabilité d’ériger sa frontière entre la vie
privée et la vie publique.
Lien
en référence à ce billet :
Aucun commentaire:
Publier un commentaire